mardi 11 mars 2014

parce que j'étais peintre



le beau existe-t-il dans l'horreur ?
peut-on sublimer l'horreur au service du beau ?
l'art a-t-il une limite ?
une oeuvre a-t-elle une fonction esthétique, documentaire, historique ?
un artiste est-il chargé d'une mission ?

dans l'enfer des camps nazis, il y a ceux qui ont dessiné parce qu'ils avaient ça en eux, leur oeil d'artiste à l'affût des couleurs, des formes, des perspectives; et ceux qui ont dessiné pour raconter, pour l'Histoire et pour l'avenir.

"Parce que j'étais peintre" soulève plusieurs questions, met en parallèle plusieurs points de vue d'artistes, rescapés ou non des camps.
il n'y a sûrement aucune réponse à tout cela. 
seulement une expérience, et les idées de chacun, leurs forces et leurs limites. 
un souvenir aux multiples interprétations.




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