La solitude, la souffrance, la mort.
Les infidélités de son père.
Le travail de Louise Bourgeois a toujours un peu dérangé, cherchant à extérioriser, à donner une forme aux angoisses de son enfance.
Il y a 2 ans, le Centre Pompidou offrait une rétrospective. Des sensations de mal aise, violence et douceur venaient se mêler, à la confrontation de ses oeuvres.
Il y a quelques mois, le très intéressant et touchant documentaire "L'Araignée, la Maîtresse et la Mandarine" suivait Louise Bourgeois, son caractère et sa langue bien pendue, masquant certainement les stigmates de son inspiration.
Louise Bourgeois avait 98 ans et s'est éteinte hier à New York.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire