Everything must go

Lorsque le couple d'architectes Cecilia Tham et Yoel Karaso achète ce vieil appartement du quartier de Fort Pienc à Barcelone (ce carrelage, toujours..), ils prennent le risque de peut-être (ou jamais) devoir revendre un jour leur appartement à la ville car le quartier est une zone en redéveloppement.

Avec cette possibilité de se faire expulsés, ils rénovent l'espace avec l'idée de pouvoir partir avec le maximum de choses, afin de recréer facilement un autre 'chez soi', ailleurs. Ainsi, rien n'est complètement conçu et installé dans le sol ou les murs (principalement concernant la cuisine et salle de bain).

via Dwell

The Plant Journal - Issue 2

Le 2ème numéro de The Plant Journal vient de sortir.

Ci-dessous, quelques photos de la soirée de lancement qui a eu lieu à la librairie Artwords à Londres il y a quelques jours.

Et un aperçu de quelques pages qu'offrait It's Nice That, avant sa sortie.

Oh, et le nouvel album de Sharon Van Etten qui sort la semaine prochaine est en écoute sur NPR.

Home & favorites

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J'aimerais lire ce livre.

Le blog de Valeria et Daniel d'Hindsvik est de retour : http://hindsvikathome.com/

Cette improvisation sur une sonnerie de téléphone en plein concert.

Blue Marble, les plus récentes images de la Terre en haute résolution.

L'impatience de Mirrorring, l'album entre Grouper et Tiny Vipers.

Ce reportage sur la composition de la bande-son du documentaire The Great White Silence, sur l'expédition de 1910 dans le Pôle Sud, par Simon Fisher Turner.

Le label de Seattle Light in the Attic a réédité l'album Rainmaker de Michael Chapman, et ce morceau, en boucle.

Voici exactement mon état de ces derniers jours.

Years

A 24 ans seulement, l'allemand Bartholomäus Traubeck a réalisé ce que j'ai toujours rêvé de voir et d'entendre.

Un tourne-disque jouant un vinyl de bois.
Des notes de piano, traduisant les années.

A tree’s year rings are analysed for their strength, thickness and rate of growth. This data serves as basis for a generative process that outputs piano music. It is mapped to a scale which is again defined by the overall appearance of the wood (ranging from dark to light and from strong texture to light texture). The foundation for the music is certainly found in the defined ruleset of programming and hardware setup, but the data acquired from every tree interprets this ruleset very differently.

Bartholomäus Traubeck

;-)

via Lists of Note

Children's book covers from 1960s Korea

1966, The Village with a Zelkova Tree

1963, The Echo That I Miss

1961, Pleasant Hills

1966, When the Barley Ripens

1961, Baby's Eyes

1969, The Face That I Miss

Réunies sous le livre (apparemment difficile à trouver) Bound Treasures : Graphic Art in Korean Children's Books of the Mid-20th Century de Lee Ho Baek et Jeong Byung-kyo,

ces couvertures de livres pour enfants illustrent à merveille "l'age d'or" qu'étaient les années 50 et 60 dans l'histoire des livres coréens pour enfants, selon les deux auteurs.

via 50Watts

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Il est toujours agréable d'avoir un morceau dans lequel se réfugier.

Bloesem visit : Judy Kauffman

La semaine dernière, Bloesem proposait une visite de l'appartement de Barcelone (ce vieux carrelage !) de l'illustratrice Judy Kauffman.

Un peu plus d'images et une interview par ici.

Le blog et l'Etsy de Judy Kauffman.

Echoes of Home, Stefan Schwietert

Heimatklänge, Echoes of Home.

Un documentaire sublime dans lequel le réalisateur Stefan Schwietert suit trois personnalités, trois personnages, trois voix, trois portraits du yodel d'aujourd'hui.

Noldi Alder, le plus âgé, qui, après une carrière internationale de yodleur avec ses frères, s'est ensuite tourné vers le naturjodel - qu'il explique comme un dialogue entre l'homme et la nature.

Ericka Stucky, l'Américaine qui a déménagé en Suisse dans sa jeunesse, et qui livre aujourd'hui une version anarchique et farfelue du yodel.

Et Christian Zehnder, accompagné le plus souvent d'un cor, qui mêle tradition et contemporain - les deux grandes lignes directrices de ces 80 minutes, et de recherche pour ces trois artistes.

Puis il y a aussi quelque chose de mystique. L'importance de la montagne, de l'isolement, des racines et de l'avenir. L'équilibre entre folklore et moderne.

Trailer

Nippers

En 1912, Horace Warner photographiait ces enfants des rues dans le quartier de Spitalfields, un des quartiers les plus pauvres de Londres à cet époque.

Ces photos restent un mystère. Mais elles témoignent d'une sorte de société indépendante, à l'écart des adultes. Ces enfants débrouillards menant leur petite vie dans les rues.

Plus d'images par ici.

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Un petit changement de décor, après 3 ans et demi avec la même bannière.

Je m'amuse à faire des playlists par ici.

Bon dimanche !

photos par Wool and the gang.